Et passe alors le temps.
Rassurant, un vent doux.
Puis soudain, comme un choc.
Un vent sec, cœur brûlé.
L'inattendu s'en vient,
intrus qui d'un seul coup
s'empale dans la paix
et brise l'armistice
du cœur et de l'esprit.
La vie de tous les jours
s'octroie parfois le droit
de tout anéantir
ce qui tentait de croître.
© andré elleboudt
La maladie... une cour intérieure que je veux, mécréant, transformer, un défi, en jardin d'agrément... et je n'y parviens pas...
dimanche 17 avril 2016
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