Notre pensée critique est partie se coucher.
Elle s’en va se cacher
pour ne plus se soucier
du vide, du néant
de pensées qui ces jours préparent le berceau
d’absolutismes creux.
© andré elleboudt
La maladie... une cour intérieure que je veux, mécréant, transformer, un défi, en jardin d'agrément... et je n'y parviens pas...
Notre pensée critique est partie se coucher.
Elle s’en va se cacher
pour ne plus se soucier
du vide, du néant
de pensées qui ces jours préparent le berceau
d’absolutismes creux.
© andré elleboudt
Des marques dans le ciel.
Poésie des humains.
Encre blanche.
Sur fond bleu très pâle.
Démonstration de force et puissance avérée.
Sans limite.
Mépris d'un bien qui nous est commun.
Tout là-haut l'avion poursuit jusque l'escale.
©andré elleboudt
Elle alluma sa flamme dans un coin de son âme.
Y glissa sa passion, toute sa force aussi.
Et jamais son amour ne voulut le quitter.
Ils se le sont prêté, donné puis partagé.
La vie les a comblés du meilleur de ses dons,
la vie à féconder, sans rien lui demander.
Tous ces mots s'écrivaient, m'échappaient, libérés.
Que dit cette émotion qui s'insinue, jaillit ?
L'invite d'un bonheur ? La faveur d'un amour ?
© andré elleboudt
Aux abonnés absents depuis beaucoup de lunes le soleil, ce seigneur, fit subir aux humains la nuit. Révolution! ...