A en peindre de rouge
l'écho du vide en moi,
à chanter italiques
les syllabes coupées,
penser qu'en plein orage
disparaît l'encre blême
et que le son plombé
épanouit l'étau
du mal et des misères.
Etre mal et peiner.
L'écorce dira bien
l'absence de la sève
et la peau traduira
du corps tous les mystères.
Savoir qu'au ciel frileux
apparaît la joie frêle
et que la voix radieuse
épanouit le cœur
malgré tous les hivers.
Avoir mal, espérer.
La maladie... une cour intérieure que je veux, mécréant, transformer, un défi, en jardin d'agrément... et je n'y parviens pas...
samedi 12 novembre 2011
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