C’était là, inutile
et je trouvais ça beau.
Mon esprit se perdait.
Je regardais encore.
Une petite voix
vint alors titiller
mon cerveau engourdi.
La chose n’est pas belle
pas plus que laide en soi.
L’objet ne peut par lui
me forcer à sourire
ni brusquer une larme.
Il n’y a que l’esprit,
que je croyais figé,
qui donne ces pouvoirs.
Je restais, étonné
de mes capacités.
Mais était-ce bien moi ?
© andré elleboudt
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