"Bien je m'en vais te prendre" me dis-je en lui parlant.
Il est beau, droit et large, il s'étend là devant.
"Et si je t'empruntais plutôt que de te prendre".
Je marchais.
© andré elleboudt
La maladie... une cour intérieure que je veux, mécréant, transformer, un défi, en jardin d'agrément... et je n'y parviens pas...
Une fois le temps passé, il devient le passé, rangé dans ma mémoire, cette grande lingère. J'y remise sans fin le...
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