Marchant un doux matin
par les prés et les sentes,
je subis subito,
mettant fin à ma paix,
une attaque avérée.
mettant fin à ma paix,
une attaque avérée.
Une question brutale
assaillait mon esprit.
Elle me disait "Dis-moi,
toi qui es en chemin
par où t'en irais-tu
si, soudain, devant toi
il n'y avait de voie?"
Je rebroussai chemin
car je restais sans voix.
© andré elleboudt
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