on a encore les mots
pour inventer un monde
à hauteur de nos folies.
Et même si
les mots parfois
font mal,
ils tuent moins
que les armes.
Et les larmes qu'ils provoquent
se font, dit-on,
chemin de guérison ?
© andré elleboudt
La maladie... une cour intérieure que je veux, mécréant, transformer, un défi, en jardin d'agrément... et je n'y parviens pas...
Une fois le temps passé, il devient le passé, rangé dans ma mémoire, cette grande lingère. J'y remise sans fin le...
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