mardi 4 décembre 2018

Genou

 
C'est un mot qui, dit-on, sauvera les humains de la chute finale. L'écologie, pour sûr, a, très tôt, mis le doigt sur les risque et péril face auxquels toute vie jouerait son devenir. Car que deviendrions-nous sans air ni mer ni fleurs, … ? Et plus les faits sont clairs, plus on semble défier. Ce qui peut arriver aux autres m'indiffère. Ce qui compte est moi seul : pays, nation ou race. Plus ils sont connectés plus les humains détissent cohésion, relations. Les uns en leurs châteaux aiment tant dominer les castelets des autres ; ou d'autres en leurs labos inventent des systèmes qui entraînent les uns en de crasses misères.
La vie est engagée. Ecologie de l'être. Crier au loup et l'être, c'est un talent humain. A quoi sert-il d'aimer l'arbre et la fleur si ce n'est que pour soi ? Être seul sur la terre, maître seul de la terre, c'est imbécilité ! Aimer à tout jamais les oiseaux dans les bois, boire l'eau qui s'écoule, … sans avoir un regard, un mot, une affection pour un humain voisin, c'est aimer le vin aigre, préférer cendre au feu. L'humanité n'est rien si la maison commune n'est pas entretenue. Et que deviendra donc cette maison de tous pour une humanité chaque jour un peu plus infectée de supériorité.

© andré elleboudt

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