Je sens que doucement
tel un essoufflement,
comme un enfermement,
les gestes de mon corps
ressemblent à du bois mort,
tout se vit dans l'effort.
Et vacille la flamme
sur la sente de l'âme,
je tisse sans la trame.
Mais voilà, ça c'est moi
et je ferai, ma foi,
le mieux. Je sais pourquoi.
© andré elleboudt
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