Je ne sais
pas vous, mais
violence et
fureur
me sont
insupportables,
guerres,
attentats et morts
me délogent
du confort
quotidien
et douillet.
Mis à part
le Grand Nord
et
l’Antarctique aussi,
probablement
le ciel,
peu de
lieux aujourd’hui
me semblent
vaccinés
contre un
virus fourni
en cadeau à
la terre,
sans frais
par des humains.
Quand
j’entends le mot guerre
ou quand je
vois la mort
au début du
souper,
que je lis
les récits
d’atrocités
causées
par des
cabots débiles,
il me
prend, malgré moi,
une envie
d’être ailleurs,
de me
changer en fleur.
© andré elleboudt
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