Le blanc gisait, étale,
entre bleu et vert doux.
L’azur était brisé
d’un trait pâle et violent.
Des ondoiements laiteux
donnaient quelque relief
à ce devant terreux.
Le regard, tout à coup
tiré de sa torpeur,
interrogea l’espace.
Un tiret s’éveilla
et, quittant le feuillet,
s’en vint paisiblement
se poser sur ma joue.
La nature est si belle
qu’il faut parfois un choc,
incroyable ou taquin,
pour allumer en moi
l’étincelle du beau,
le flash de la finesse,
le soleil dans le ciel.
entre bleu et vert doux.
L’azur était brisé
d’un trait pâle et violent.
Des ondoiements laiteux
donnaient quelque relief
à ce devant terreux.
Le regard, tout à coup
tiré de sa torpeur,
interrogea l’espace.
Un tiret s’éveilla
et, quittant le feuillet,
s’en vint paisiblement
se poser sur ma joue.
La nature est si belle
qu’il faut parfois un choc,
incroyable ou taquin,
pour allumer en moi
l’étincelle du beau,
le flash de la finesse,
le soleil dans le ciel.
© andré elleboudt
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