C’est comme un long virage
d’où jamais on ne voit
le bout de son chemin.
Comme un lent matin doux
où on ne sent déjà
la chaleur de midi.
Ou comme un sommet blanc
d’où on s’attend à voir
le monde au bout du pic.
Je te vois et te sens. Je me tourne et te suis.
Je te sens et ressens la chaleur qui s’étale.
Je gravis ton regard et ta bouche m’appelle.
Et quand midi explose
nos deux corps en chemin
atteignent le sommet
du désir… Le désir.
d’où jamais on ne voit
le bout de son chemin.
Comme un lent matin doux
où on ne sent déjà
la chaleur de midi.
Ou comme un sommet blanc
d’où on s’attend à voir
le monde au bout du pic.
Je te vois et te sens. Je me tourne et te suis.
Je te sens et ressens la chaleur qui s’étale.
Je gravis ton regard et ta bouche m’appelle.
Et quand midi explose
nos deux corps en chemin
atteignent le sommet
du désir… Le désir.
© andré elleboudt
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