Il ne s'agit pas tant
pour être bien sur terre
de simplement bien naître.
Un chemin reste à faire
qui ne dépendra pas
de maman ou papa.
Au cœur des qualités
dont nous sommes dotés
des sentiers s'ouvrent à nous.
Il s'agirait alors
de naître et de renaître
au fil du temps, sans cesse,
de cultiver son être,
de se bouger les fesses,
de se vouloir demain.
© andré elleboudt
La maladie... une cour intérieure que je veux, mécréant, transformer, un défi, en jardin d'agrément... et je n'y parviens pas...
dimanche 23 octobre 2016
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