Au milieu de là-bas, bien avant d'être ici,
je quittai, téméraire, un océan perdu.
J'empruntai un sentier inconnu des atlas
car les indicateurs refusaient de parler.
A l'abri d'un palmier, je consultai, inquiet
un très vieux GPS devenu taciturne.
Oubliant la sagesse, je sautai sans penser
au fond d'un gouffre errant. Pas un bruit, pas un son.
Mon bonheur implosa, ma joie se fit aphone,
mon esprit s'éveilla: Euréka, le silence!
© andré elleboudt
La maladie... une cour intérieure que je veux, mécréant, transformer, un défi, en jardin d'agrément... et je n'y parviens pas...
mardi 19 juillet 2016
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