Quatre pommes et de l'eau,
un banc près d'un ruisseau,
loin des bruits, des rancœurs
du monde et de ses heurts.
Me contenter de çà
sans envie ni tracas,
profiter avec toi
de la vie, de ses joies.
Je me mets à penser
et même à comparer
ce que toi tu avais,
ce que je possédais.
S'empare alors de moi,
tout au fond, un émoi;
je calcule et suppute,
t'as çà, t'as fait la pute.
Je m'enfonce et je croule,
je te flingue et tu roules.
Quatre pommes et de l'eau,
du sang coule au ruisseau.
un banc près d'un ruisseau,
loin des bruits, des rancœurs
du monde et de ses heurts.
Me contenter de çà
sans envie ni tracas,
profiter avec toi
de la vie, de ses joies.
Je me mets à penser
et même à comparer
ce que toi tu avais,
ce que je possédais.
S'empare alors de moi,
tout au fond, un émoi;
je calcule et suppute,
t'as çà, t'as fait la pute.
Je m'enfonce et je croule,
je te flingue et tu roules.
Quatre pommes et de l'eau,
du sang coule au ruisseau.
© andré elleboudt
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