Je retrouve un état
que j'abhorre, parfois crains,
avec, planté à l'âme,
le piolet des jours
quand, à l'assaut des doutes,
je tâche d'être et de vivre.
J'ai tout le nécessaire
qui permet de gravir,
c'est juste que l'esprit
se fait fade et vaincu.
La maladie... une cour intérieure que je veux, mécréant, transformer, un défi, en jardin d'agrément... et je n'y parviens pas...
Une fois le temps passé, il devient le passé, rangé dans ma mémoire, cette grande lingère. J'y remise sans fin le...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire