Debout,
face au tain du miroir,
curieux,
de percer le visage,
inquiet,
de percevoir en moi,
brutales,
ces pensées difficiles.
Debout,
ne pas avoués vains,
intenses,
les efforts que je fais,
calmé,
d'enfin n'être asservi,
folie,
ces pensées scélérates.
La maladie... une cour intérieure que je veux, mécréant, transformer, un défi, en jardin d'agrément... et je n'y parviens pas...
samedi 26 septembre 2015
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