Les années ont passé
et toujours toi et moi
respirons au même air.
Pourtant chacun de nous
s'époumone et aspire
à être soi au mieux.
Il n'est jamais question
de devenir cet autre
qui est là et attire.
C'est à force de moi
que je peux t'aimer toi.
Et voilà que ça dure.
La maladie... une cour intérieure que je veux, mécréant, transformer, un défi, en jardin d'agrément... et je n'y parviens pas...
samedi 25 juillet 2015
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