J'ai tiré sur un fil léger mais bien solide. Au bord de celui-ci, des pensées très futiles car sans doute improbables, inutiles. C'est moi qui trop souvent suscite et puis subis ce geste irrépressible et cependant malin d'inventer des raisons de me faire douter, de trouver un moyen d'être si tourmenté que ma sérénité s'emmêle et puis bafouille. Ce processus est fort d'imaginer le vide habité de raison et ce, suffisamment, pour accabler le jour et saloper la nuit.
La maladie... une cour intérieure que je veux, mécréant, transformer, un défi, en jardin d'agrément... et je n'y parviens pas...
lundi 2 mars 2015
Piètre
Une fois le temps passé, il devient le passé, rangé dans ma mémoire, cette grande lingère. J'y remise sans fin le...
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Fermer les écoutilles, se fermer du réel ? Se nourrir de vétilles, opter "superficiel" ? Vaguer en ...
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Quand soudain un désir. C'est le goût d'un dehors Indécis. Toutefois … Je me lève et, surprise. Elle est là...
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L'air du temps semble-t-il ne serait plus à débattre. Faudra-t-il par dépit, pour évincer le contradicteur, en veni...