Je lis que le destin
ça n’existe qu’après.
Qu’ajouter à cela
qui ne soit superflu ?
Je dépose la plume.
© andré elleboudt
La maladie... une cour intérieure que je veux, mécréant, transformer, un défi, en jardin d'agrément... et je n'y parviens pas...
Aux abonnés absents depuis beaucoup de lunes le soleil, ce seigneur, fit subir aux humains la nuit. Révolution! ...
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