Où pourrait-il bien être
le lieu où je serai
à l'abri des revers ?
Où je verrai sans fin
le soleil de l'été
me couvrant des rayons ?
Où je boirai sans soif
les liqueurs automnales
m'habillant de langueurs ?
Où je fondrai sans peur
sur les neiges du temps
contemplant mes hivers ?
Où, posant sur ma vie
les boutons d'agapanthes,
je survivrai, en paix ?
© andré elleboudt
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