Elle inspirait du nez
et son cerveau, parfois,
anesthésiait son cœur.
Elle expirait du mal
Elle expirait du mal
car dans son cœur, parfois,
se glissaient des calculs.
Elle était, disait-elle,
ouverte au bien de soi
comparant et pesant.
Car quand son cœur, des fois,
regardait à côté
des aigreurs s'échappaient.
Toujours elle exigeait
d'avoir comme les autres
et si possible plus.
C'est alors qu'elle était
un plateau de balance
rempli de dérisoire.
Elle gérait son moteur
en première vitesse
quitte à tout faire sauter.
Elle ouvrait la télé
sur son petit miroir,
attendant les sunlights.
© andré elleboudt
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