J’aime te regarder et découvrir en toi ce que jamais encore je n’ai dévisagé. C’est dans l’éclat des yeux que parfois s’insinue le neuf de ton amour. Le rire de ta joie aux commissures des lèvres fait rouler en galet la tendresse des mots. Ta peau fraîche aux sommets, au secret des replis, ta peau qui se fait havre et s’ouvre à nos projets. Par l’amour que je goûte, dans le beau partagé, par tes pas chaque jour, par tes mots et tes doutes, au fond de tes révoltes, par tout cela de toi je vis et je résiste. J’aime bien partager ta vie et ses combats. Je t’aime et tu me le rends bien.
La maladie... une cour intérieure que je veux, mécréant, transformer, un défi, en jardin d'agrément... et je n'y parviens pas...
mardi 24 février 2015
Astre
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