Dans un creux du soleil, j'ai rencontré ton œil,
fantassin de ta vie, sentinelle alanguie.
A l'abri d'un nuage, tu tournais, là, les pages
du roman de l'histoire qui nous fit être un soir.
Le goût et les odeurs attablés en nos cœurs
devenaient les balises de nos voies indécises.
Ce que je conjuguais au passé décuplait
nos forces et nos envies. C'est le présent, la vie!
La maladie... une cour intérieure que je veux, mécréant, transformer, un défi, en jardin d'agrément... et je n'y parviens pas...
mardi 9 septembre 2014
Astre
Aux abonnés absents depuis beaucoup de lunes le soleil, ce seigneur, fit subir aux humains la nuit. Révolution! ...
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Quand soudain un désir. C'est le goût d'un dehors Indécis. Toutefois … Je me lève et, surprise. Elle est là...
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L'air du temps semble-t-il ne serait plus à débattre. Faudra-t-il par dépit, pour évincer le contradicteur, en veni...