J’ai ouï le silence des hiérarques ecclésiaux
et n’ai été surpris du lynchage, là-haut,
du quotidien des gens, qui ne rentre jamais
dans les catégories fanées de leurs palais.
Dans la vie de ces gens ne peut coexister
que la loi et le droit, pléonasme brutal
ne lassant pas de place à la marge, au divers
condamnant différences aux flammes de l'enfer.
T'es homo, t'as tout faux; les nanas second choix;
tu crois mais selon toi, alors tu te fourvoies;
tu veux la liberté, tu seras sanctionné;
et si tu persévères, alors t'es condamné.
Cette grande maison qu'est l'Eglise, un saint nom,
autorise les choix, parfois l'indépendance
pour autant que tes pas ne partent en déviance;
les bergers du troupeau n'aiment que les sillons.
Si le monde s'emballe, devient fou, s'encanaille,
si des humains en souffrent au point de rendre l'âme,
n'attends pas des mitrés de douceurs d'épousailles
entre cœur ou raison, ils ont choisi. Un drame.
La maladie... une cour intérieure que je veux, mécréant, transformer, un défi, en jardin d'agrément... et je n'y parviens pas...
jeudi 30 août 2012
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